la maladie de quartz
la maladie de quartz
Glomérulonéphrite
Quartz est décédé d'une glomérulonéphrite chronique, avec insuffisance rénale chronique, il était atteint également d'hypertension, avait de l'anémie et les plaquettes tout en bas! pour qu'il ait une chance de s'en sortir il lui aurait une greffe de reins. Mais à quel prix pour sa qualité de vie.... et actuellement cela se fait un peu aux USA mais très très peu chez nous.
Pour mieux comprendre cette maladie voici quelques extraits tirés d'internet (sante.canoe et wanimo) qui donnent les grandes lignes générales des atteintes aigües et chroniques, chez les humains ou les animaux. Quartz était atteint des pathologies chroniques que rien n'a provoqué d'après tous les vétérinaires. Une maladie qui lui est tombé dessus à cause de "faute à pas de chance"....
La glomérulonéphrite est une affection rénale progressive touchant les glomérules, les unités individuelles de filtration du rein qui produisent l'urine.
Lorsque les glomérules sont enflammés, les reins ne peuvent plus filtrer l'urine adéquatement. Il en résulte une accumulation de liquide et de toxines dans l'organisme. La glomérulonéphrite peut entraîner une insuffisance rénale chronique.
On distingue deux principales formes de glomérulonéphrite : primaire et secondaire.
Lorsqu'il est question de glomérulonéphrite primaire, l'affection apparaît directement au niveau des reins alors que dans la glomérulonéphrite secondaire, les reins sont endommagés à la suite d'une autre maladie. La glomérulonéphrite semble affecter deux fois plus les hommes que les femmes
Dans la plupart des cas, les personnes atteintes de glomérulonéphrite ne présentent aucun facteur de risque connu.
Les causes connues les plus fréquentes sont les infections bactériennes (le plus souvent streptococciques) et virales.
Les médecins ont constaté que beaucoup d'enfants atteints de glomérulonéphrite avaient reçu un diagnostic d'infection streptococcique, comme une infection de la gorge par des streptocoques, quelques jours avant la manifestation des atteintes rénales. Les personnes souffrant d'une hépatite ou du VIH/Sida peuvent également développer une glomérulonéphrite.
Il semble que les affections auto-immunes, comme le lupus, augmentent également le risque de développer une glomérulonéphrite. Au lieu de combattre les bactéries ou les virus, le système immunitaire des personnes qui souffrent d'une maladie auto-immune s'attaque à l'organisme lui-même et aux reins. Il en résulte des troubles de la fonction rénale.
Les reins assurent trois fonctions majeures :
•filtrer les déchets de l'organisme, empêchant ainsi l'accumulation de toxines dans la circulation sanguine ;
•réguler la concentration en minéraux ou en électrolytes (par ex. le sodium, le calcium et le potassium) et la quantité de liquide dans l'organisme ;
•produire des hormones qui contrôlent d'autres fonctions de l'organisme, comme la régulation de la pression artérielle, le maintien de la masse osseuse et la production de globules rouges.
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Étant donné l'important rôle des reins dans le maintien de la santé générale, la glomérulonéphrite et l'insuffisance rénale déclenchent des symptômes plutôt variés.
Parmi les symptômes de la glomérulonéphrite, on trouve :
•la présence de sang dans l'urine,
•la présence excessive d'écume dans l'urine,
•une miction plus fréquente.
Une insuffisance rénale chronique peut se développer. Les symptômes résultent directement de l'incapacité des reins à éliminer les déchets et l'excès de liquide de l'organisme. Lorsque l'insuffisance rénale est grave ou à un stade avancé, elle peut entraîner les symptômes suivants :
•de la confusion,
•une miction réduite,
•une pression artérielle élevée,
•de la fatigue,
•des maux de tête,
•une perte de l'appétit,
•des démangeaisons,
•de la soif,
•des crampes ou secousses musculaires,
•de la nausée et des vomissements,
•un teint jaunâtre ou café au lait,
•des saignements de nez,
•les paupières bouffies, une enflure des mains et des pieds (œdème),
•un essoufflement,
•une perte de poids.
Si l'inflammation n'est pas traitée et que les atteintes rénales empirent, les symptômes peuvent s'intensifier. À un stade avancé, des crises convulsives et un coma peuvent survenir.
La glomérulonéphrite peut avoir des conséquences graves.
Sans traitement, elle peut entraîner une insuffisance rénale chronique, une maladie rénale de stade terminal, une pression artérielle élevée, une insuffisance cardiaque, un œdème pulmonaire et une augmentation du risque d'infection, en particulier les infections urinaires et rénales.
Comme les atteintes rénales s'installent lentement et progressivement, elles passent souvent inaperçues au début.
Malheureusement, beaucoup de dommages peuvent se produire avant que les symptômes ne soient perceptibles et parfois le problème est découvert fortuitement, à l'occasion d'une analyse de sang ou d'urine.
Si le médecin soupçonne une glomérulonéphrite, il commencera par interroger le patient sur ses antécédents médicaux.
Ensuite, il procédera à un examen physique et pourrait demander l'un des examens suivants :
•des analyses sanguines ;
•des analyses urinaires ;
•une échographie des reins ou de l'abdomen ;
•une tomodensitométrie (TDM) des reins ou de l'abdomen ;
•une pyélographie intraveineuse (examen par rayons X des reins, des uretères et de la vessie) ;
•une radiographie pulmonaire (s'il soupçonne une insuffisance cardiaque) ;
•une biopsie du rein.
Les analyses sanguines permettent de détecter une accumulation de déchets dans le sang (comme l'urée). Quant à l'analyse d'urine, elle permet de rechercher tout élément qui ne s'y trouve pas en temps normal, comme des protéines ou des globules rouges. Les échographies et la tomodensitométrie révèlent la dimension des reins (qui augmentent de volume dans le cas d'une glomérulonéphrite) ainsi que toute anomalie, comme des tumeurs ou des obstructions.
Enfin, une biopsie du rein peut être effectuée pour confirmer le diagnostic. On introduit une fine aiguille dans le rein en se guidant par échographie et on prélève un petit échantillon de tissu rénal qu'on examinera sous microscope pour y déceler toute lésion ou maladie.
Traitement et Prévention
Le traitement de la glomérulonéphrite varie énormément d'une personne à l'autre
selon qu'il s'agit d'une maladie aiguë ou chronique et selon le degré d'atteinte rénale.
En cas de glomérulonéphrite aiguë, le traitement vise d'abord à réduire les symptômes et à empêcher des lésions rénales supplémentaires.
Si une hypertension s'est développée, on la soignera avec des antihypertenseurs (médicaments qui font baisser la pression artérielle). Si la glomérulonéphrite résulte d'une infection bactérienne, on aura recours aux antibiotiques. Il est très important de prendre les antibiotiques exactement selon les prescriptions, même lorsque les symptômes de l'infection disparaissent après quelques jours de traitement. Cela permet de s'assurer que l'infection est vraiment éliminée. S'il s'agit d'une infection virale, les antibiotiques ne seront d'aucune utilité et l'infection devra suivre son cours pour se résorber d'elle-même. Il est également possible d'utiliser des corticostéroïdes et des médicaments immunodépresseurs pour traiter la glomérulonéphrite.
Les médecins peuvent prescrire des diurétiques aux personnes souffrant de glomérulonéphrite. Ces médicaments augmentent la production d'urine et entraînent des mictions plus abondantes et plus fréquentes. On recommande souvent de prendre les diurétiques le matin ou en début d'après-midi pour éviter d'avoir à se lever la nuit pour uriner.
Selon les résultats des analyses sanguines, le médecin pourrait également recommander des suppléments de vitamines ou de minéraux pour maintenir l'équilibre électrolytique (comme le sodium, le calcium et le potassium). En présence de maladies rénales, on pourrait recommander des changements de régime alimentaire pour réduire l'accumulation de déchets dans le sang. Un régime spécial pourrait également aider à maîtriser les nausées et les vomissements. En général ces changements diététiques ne sont pas nécessaires dans les cas d'atteintes rénales légères.
Le pronostic de la glomérulonéphrite varie selon qu'il s'agit d'un premier épisode aigu ou d'une maladie chronique.
La cause de l'inflammation est un autre facteur important à considérer. Si l'inflammation est traitée assez tôt, si on peut en traiter la cause et si les atteintes rénales sont légères, le pronostic est bon.
Dans les cas graves de glomérulonéphrite, cependant, les atteintes rénales peuvent s'aggraver, entraînant une insuffisance rénale chronique et d'autres problèmes associés, tels qu'une hypertension artérielle et une insuffisance cardiaque. Dans les cas graves, une dialyse peut s'avérer nécessaire.
La dialyse ne guérit pas la maladie.
Aussi, les personnes traitées à l'aide de cette méthode doivent se conformer aux restrictions alimentaires recommandées, diminuer leur consommation de liquides et prendre leurs médicaments selon les prescriptions. Les professionnels de la santé choisissent le type de dialyse, à savoir dialyse péritonéale ou hémodialyse, en fonction des besoins du patient. La dialyse permet d'éliminer les déchets et l'excès de liquide au moyen d'une membrane qui agit comme filtre, pour remplacer le rein défaillant.
Au besoin, on évaluera votre capacité à recevoir une greffe rénale. Ces opérations suscitent la peur, mais, de nos jours, les greffes rénales sont devenues assez courantes et offrent un bon taux de succès. Après une greffe réussie, le receveur peut mener une vie normale, en bonne santé.
On ne peut pas vraiment prévenir la glomérulonéphrite,
mais les médecins pourraient être en mesure de prévenir certains problèmes associés aux atteintes rénales si l'affection est décelée assez tôt.
On doit informer les personnes présentant des facteurs de risque d'insuffisance rénale, comme le lupus, des signes et des symptômes à surveiller. Les infections doivent être prises au sérieux et traitées de façon appropriée. Si une antibiothérapie se révèle nécessaire, on doit prendre les antibiotiques conformément aux directives du médecin et pendant toute la durée prescrite.
L'insuffisance rénale chez le chien
L'insuffisance rénale correspond à une défaillance des fonctions du rein.
Le rein est chargé de détoxifier le sang en filtrant les déchets (toxines) produits par l'organisme.
Lorsqu'il ne peut accomplir cette fonction, les toxines s'accumulent et les premiers symptômes apparaissent.
L'insuffisance rénale peut survenir de deux façons:
soit de manière aigüe, le rein ne peut soudainement plus assurer l'élimination des toxines produites par l'organisme.
Les symptômes apparaissent brutalement et le mal est souvent réversible si l'on élimine à temps la cause de cette insuffisance.
soit de manière chronique, le rein est détruit progressivement et de manière irréversible.
Les perturbations sont perceptibles seulement à un stade déjà avancé de la maladie, il est alors souvent trop tard pour rétablir pleinement les fonctions du rein.
L'insuffisance rénale aigüe
Cette affection apparaît de façon brutale sur un animal quel que soit son âge.
•Les symptômes
Les symptômes de cette maladie sont assez nombreux et souvent peu caractéristiques.Le chien est abattu et il mange peu ou plus du tout. Souvent il présente des vomissements et de la diarrhée. Il peut aussi avoir des problèmes urinaires(douleurs voire arrêt total d'émission des urines). Une mauvaise haleine (odeur d'urée) peut également être un signe à prendre en compte.
Ces symptômes sont assez inquiétants. En cas de doute, votre chien doit être examiné rapidement par un vétérinaire afin qu'il diagnostique si votre chien souffre bien d'une insuffisance rénale aiguë.
•Les causes
Les causes de cette insuffisance rénale sont variées. Elle peut apparaître suite à unemauvaise circulation sanguine au niveau du rein lors d'hémorragie importante, lors de déshydratation sévère ou lors de certaines insuffisances cardiaques chez le chien âgé notamment.
Le rein peut aussi subir une lésion majeure qui le rend incapable de fonctionner normalement.
C'est le cas lors de certaines infections (pyélonéphrite, glomérulonéphrite), lors de certaines maladies générales (leptospirose, leishmaniose), lors de l'absorption de certains produits ou médicaments toxiques (intoxication par l'antigel par exemple).
Le rein peut aussi être gêné dans son fonctionnement quand l'urine qu'il produit ne peut s'éliminer normalement.
Chez Le chien, c'est le cas lorsque des calculs situés dans la vessie ou dans l'urètre bloquent l'émission d'urine.
•Le diagnostic
Le vétérinaire, après un examen approfondi de l'animal, pourra réaliser une prise de sang.
Celle-ci permettra de doser certaines toxines produites par l'organisme et normalement éliminées par le rein comme l'urée et la créatinine.
Puisque le rein ne fonctionne plus, les valeurs d'urée et de créatinine seront très augmentées dans le sang.
Le vétérinaire pourra également réaliser d'autres examens (prise d'urines, radiographies, échographie, etc...) pour connaître la cause de cette insuffisance rénale aiguë.
•Le traitement
Le traitement a pour but de rétablir le fonctionnement normal du rein.
Il repose sur la mise en place de perfusions qui permettent de soutenir l'organisme et d'éliminer les toxines accumulées dans le sang. Dans certains cas, l'utilisation de diurétiques est nécessaire ainsi que l'administration de médicaments qui luttent contre les vomissements et la diarrhée associés. Il sera de plus indispensable de proposer à l'animal un aliment adapté, ne surchargeant surtout pas le rein.
Lorsque la cause de l'insuffisance rénale est connue, un traitement spécifique sera mis en place également.
Par exemple, lors de blocage de l'élimination de l'urine par des calculs, il faudra supprimer ces calculs.
•Le pronostic
Il va dépendre de l'âge du chien, de la cause de l'insuffisance rénale et de la rapidité de mise en place des soins vétérinaires.
Le vétérinaire réalise d'autres analyses de sang au cours du traitement.
Si les taux d'urée et de créatinine diminuent et redeviennent normaux, on pourra considérer le chien comme sorti d'affaire mais ses reins seront fragilisés.
Il faudra donc faire attention et le ramener chez le vétérinaire au moindre symptôme.
Un traitement de fond et une alimentation particulière à donner en général à vie peuvent être prescrits également.
L'insuffisance rénale chronique
Elle est liée à la destruction progressive et irréversible du rein qui devient incapable d'éliminer les toxines produites par l'organisme.
Elle est surtout observée chez les chiens âgés.
Dans de rares cas de malformations congénitales, elle peut apparaître sur de jeunes chiens.
•Les causes
Cette maladie peut apparaître suite à une infection rénale non traitée à temps, lors de lésion du rein, de problèmes urinaires répétés, de malformation rénaleou de cancers du rein.
•Les symptômes
Le chien boit généralement beaucoup (polydipsie), il urine également beaucoup (polyurie).
Ces premiers symptômes sont souvent accompagnés de vomissements plus ou moins fréquents et de fatigue.
Si la maladie évolue depuis plusieurs semaines ou plusieurs mois, le chien mange moins ou plus du tout.
Il est souvent maigre et déshydraté.
Il peut avoir des ulcères dans la bouche.
Des vomissements fréquents ou la présence d'une diarrhée sont envisageables.
Le chien présente aussi une diminution des globules rouges dans le sang(anémie).
Ces symptômes ne sont malheureusement pas caractéristiques car un chien qui boit et urine beaucoup peut avoir une autre maladie comme par exemple du diabète.
•Le diagnostic
C'est le même que pour l'insuffisance rénale aiguë: le dosage de molécules particulières dans le sang donne une première orientation (urée, créatinine), et d'autres examens permettent d'affiner le diagnostic.
La destruction du rein est progressive. Au début de la maladie, la partie fonctionnelle du rein arrive à compenser le mauvais fonctionnement de la partie lésée. C'est pourquoi la maladie est indétectable et le chien ne présente pas de symptôme.
Quand une grande partie du rein est détruite, il devient impossible à la partie restante de compenser et les premiers signes de la maladie s'installent. C'est alors que le diagnostic est fait.
•Le traitement
Il est vrai que la partie du ou des reins qui est détruite l'est de façon irréversible.
Toutefois, le traitement est possible et les chiens peuvent vivre des années avec un traitement approprié.
Le traitement va dépendre de la gravité des symptômes.
Ce traitement est basé principalement sur une alimentation adaptée, visant à limiter l'apport de protéines et à limiter l'apport excessif de phosphore.
Les aliments spécifiques pour chiens insuffisants rénaux contiennent peu de protéines mais elles sont de très bonne qualité.
Vous pouvez trouver ces aliments chez votre vétérinaire ou sur la Boutique Wanimo.com. Cliquez ici pour découvrir notre sélection d'aliments spécifiques aux chiens en insuffisance rénale.
Lors des crises, il faut, comme dans l'insuffisance rénale aiguë, perfuser le chien.
En effet, la perfusion permet de réhydrater le chien, de lui faire éliminer une partie des toxines accumulées dans le sang.
La perfusion permet aussi de soutenir l'organisme
L'utilisation de certaines vitamines sont parfois souhaitables.
Le recours à des anabolisants peut permettre de lutter contre l'anémie et avoir un effet "coup de fouet" .
•La surveillance du chien insuffisant chronique
Les signes d'aggravation peuvent être variés mais vous devez faire plus particulièrement attention à :
-> une augmentation de la prise de boisson et donc de la quantité d'urines émises.
Ceci indique souvent une aggravation de l'insuffisance rénale et votre chien doit revoir le vétérinaire.
-> une baisse d'appétit, un amaigrissement et/ou des vomissements chroniques.
Il est bon, lors d'une insuffisance rénale chronique, d'effectuer régulièrement des bilans sanguins (dosage de l'urée et la créatinine sanguines). Les propriétaires et le vétérinaire peuvent ainsi surveiller l'évolution de l'insuffisance rénale.
•Le pronostic
Il va dépendre des lésions rénales et du traitement mis en place.
La durée de vie du chien malade qui reçoit un traitement approprié peut être très longue.
Il est donc important de faire suivre le chien par votre vétérinaire et d'éviter de lui donner des friandises, qui pourraient être néfastes pour ses reins.
On ne peut réellement parler de souffrance qu'en phase terminale où les reins de l'animal ne fonctionnent plus du tout, dans ce cas, le chien « s'auto-intoxique ».
Il peut alors présenter des convulsions, être comateux. A ce stade, il ne reste malheureusement souvent plus de possibilité de traitement.
Conclusion
Il faut amener régulièrement le chien insuffisant rénal chez un vétérinaire, ne lui donner qu'une alimentation adaptée, il pourra ainsi passer encore beaucoup de temps heureux aux côtés de ses propriétaires.
Quand votre chien atteint l'âge de 5 ans pour les grandes races, 7 ans pour les races moyennes et 8 ans pour les petites races, vous pouvez demander à votre vétérinaire de faire régulièrement des analyses de sang pour dépister au plus tôt une insuffisance rénale débutante.
Le vétérinaire pourra ainsi prendre les mesures permettant de prolonger au maximum la vie de votre compagnon.